Acheter du matériel scolaire est stressant pour plus de 1 parent sur 4, mais amusant pour 1 enfant sur 2
Une bonne préparation estivale permet de diminuer le stress et les coûts
À peine le stress des examens est-il retombé que les parents se retrouvent déjà confrontés à un nouveau défi : l'achat de matériel pour l'année scolaire à venir. Plus de 1 parent sur 3 se rend durant les grandes vacances avec ses enfants dans un point de vente pour acheter les fournitures nécessaires, mais apparemment*, c'est une source de stress pour beaucoup d'entre eux. Les enfants, en revanche, y prennent plaisir. Avec sa campagne ‘mon école, ma vie’ HEMA veut soulager les parents du stress et des frais d'achat de fournitures. Dès le début des grandes vacances, les points de vente de cette chaîne proposent un large assortiment de matériel scolaire abordable et personnalisable. Pour renforcer l'aspect ‘fun’ éprouvé par les adolescents, HEMA organise aussi des ateliers de personnalisation d'ustensiles scolaires.
L'achat de fournitures scolaires est considéré comme stressant par de nombreux parents. 35 % l'appréhendent déjà. Quel contraste avec leur progéniture : 1 enfant sur 2 trouve au contraire très amusant d'acheter du nouveau matériel scolaire, seuls 17 % se disent stressés à cette idée. Ce sont surtout les filles (65 %) qui aspirent à se rendre en magasin.
"Ce serait bien si les écoles délivraient déjà en juin la liste des fournitures nécessaires pour l'année scolaire suivante. Cela éviterait beaucoup de stress et permettrait aux parents et à leurs enfants de faire les emplettes avec décontraction. En outre, pendant les grandes vacances, les parents ont davantage de temps pour rechercher des ustensiles peu coûteux et de bonne qualité", explique Marry Jansen, porte-parole d'HEMA.
L'étude réalisée pour cette chaîne de magasins révèle également que près de la moitié des parents aiment être informés à temps des offres commerciales et préfère faire les achats de nouveau matériel scolaire avant la rentrée des classes.
Ce sont surtout les mamans qui décident (92 %) des achats de fournitures scolaires. Plus de la moitié d'entre elles font les courses seules, 1 sur 3 est accompagnée de sa progéniture. Les papas ? Ils semblent nettement moins impliqués, car 1 sur 4 reconnaît même n'avoir aucune idée du budget dépensé en articles scolaires.
Les parents et les enfants conscients des prix
Une large majorité de parents estime le matériel scolaire trop cher et 2 sur 3 ont l'impression que les prix augmentent d'année en année. L'an dernier, 37 % d'entre eux ont dépensé plus de 100 € par enfant en cahiers, fardes, fournitures de bureau… Assez étonnamment, seulement 1 parent sur 3 négocie avec sa progéniture le budget disponible. Pourtant, 1 enfant sur 5 fait attention au prix lors des achats scolaires.
Les parents s'efforcent de réduire les coûts en profitant notamment des promotions des grandes surfaces ou en optant pour des alternatives meilleures marché. Près de la moitié des parents est disposée à payer davantage pour du matériel de qualité, synonyme de solidité, de longévité et de facilité d'emploi.
"Les fournitures de bureau de qualité ne doivent pas nécessairement être coûteuses. Cet été, nous lançons notre campagne ‘mon école, ma vie’ pour apprendre aux adolescents comment personnaliser leur matériel de façon ludique et au moindre coût et leur montrer qu'ils peuvent tout trouver chez HEMA. Avec notre large assortiment d'autocollants, tampons, cachets et masking tape, les ados peuvent donner une touche personnalisée spécifique et branchée à leurs effets scolaires, sans que cela leur coûte les yeux de la tête", explique Marry Jansen.
Enfin, toujours d'après cette étude, tant les parents que les enfants font de préférence leurs achats dans un seul magasin, dont l'assortiment couvre tous les articles. Les supermarchés sont les plus courus, suivis par les établissements spécialisés et les librairies-papeteries.
*C'est ce qui ressort d'une enquête exécutée en juin 2017 par le bureau d'études indépendant pour le compte d'HEMA auprès d'un échantillon représentatif de 1600 parents et enfants inscrits à l'école secondaire en Belgique. La marge d'erreur maximale de l'enquête est de 3,02 %.
